Un enfant sur six en France vit avec un trouble du neurodéveloppement (TND) : autisme, TDAH, dyslexie, dyspraxie…  Ces particularités ne doivent pas être un frein à leur réussite. 
Le 10 octobre, la Journée nationale des Dys rappelle une réalité trop souvent ignorée : des milliers d’élèves, du primaire à l’Université, peinent à trouver leur place dans un système scolaire conçu pour des parcours « standards ». Déficit d’attention, retard de langage, troubles de la coordination ou du spectre autistique (TSA)… Chaque TND s’accompagne de défis uniques, mais aussi de forces incroyables. Pourtant, malgré les dispositifs officiels (PCO, livret de parcours, aménagements pédagogiques), les familles et les équipes enseignantes se heurtent encore à un manque de ressources, de formation ou de repérage précoce.

Comment dépasser ces difficultés ? Comment adapter l’enseignement pour que chaque jeune, qu’il présente un trouble du développement intellectuel, une dysphasie ou une hyperactivité, puisse s’épanouir ? Cet article vous guide à travers des signes à identifier, les démarches possibles et les outils concrets pour agir (bilan, projet de scolarisation, etc.). 

Les troubles du neurodéveloppement ou TND, de quoi s’agit-il ? 

Les troubles du neurodéveloppement, comme les troubles Dys, l’autisme, le trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) et le trouble du développement intellectuel (TDI) ne sont pas des maladies1. Ce sont des modes de fonctionnement atypiques avec des points forts et des points faibles. Ils se présentent par ailleurs rarement seuls. Ils peuvent être combinés entre eux ou associés à d’autres caractéristiques qui ajoutent des difficultés au quotidien, comme le trouble anxieux ou la dépression, entre autres.

Chiffres clés des TND en France2

  • Les troubles Dys concernent 8 % de la population.
  • Le trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité concerne 6 % des enfants.
  • L’autisme concerne 1 à 2 % de la population.
  • Le trouble du développement intellectuel concerne 1 % de la population.

Troubles spécifiques du langage écrit (TSLE), comprenant les dyslexies et dysorthographies3 4

Les dyslexies se manifestent par une altération de la lecture et / ou de la production d’écrits. Les dysorthographies se manifestent quant à elles, par une altération de la lecture et de l’orthographe. Les différentes formes de dyslexies et de dysorthographies font partie des troubles Dys et peuvent être associées.

Trouble spécifique du langage oral (TSLO) ou dysphasie

La dysphasie se manifeste par des difficultés dans l’expression orale et la compréhension. La dysphasie fait partie des troubles Dys.

Trouble du développement de la coordination (TDC) ou dyspraxie5

La dyspraxie fait partie des troubles Dys. Il s’agit d’une réduction des capacités de coordination motrice qui se manifeste tôt notamment par un retard dans la marche et une maladresse visible dans les gestes du quotidien.

Trouble de la cognition mathématique ou dyscalculie6

La dyscalculie fait partie des troubles Dys. Il s’agit d’un trouble des apprentissages touchant les mathématiques et plus largement la structuration du raisonnement et l’utilisation des outils logiques.

Trouble déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité ou TDA/H7

Le TDAH influe sur les 4 fonctions exécutives principales (mémoire de travail, inhibition, flexibilité cognitive et planification). Il s’agit d’un trouble avec une triade de symptômes : le déficit d’attention, l’hyperactivité et l’impulsivité. 

La forme mixte associe les trois symptômes. Il existe également une forme avec inattention prédominante (TDA) et une autre forme avec agitation et impulsivité prédominantes.

Les troubles du spectre de l’autisme (TSA) ou autisme8

Les troubles du spectre de l’autisme représentent un ensemble de symptômes qui varient d’une personne à l’autre. Ils se manifestent par l’apparition de comportements atypiques qui affectent les relations sociales et la communication.

Le terme “spectre” est utilisé à la fois pour intégrer la diversité des troubles et pour indiquer l’évolution possible au sein de ce spectre.

Troubles du développement intellectuel ou TDI9

Selon l’OMS, le trouble du développement intellectuel correspond à la capacité sensiblement réduite de comprendre une information nouvelle ou complexe et d’apprendre et d’appliquer de nouvelles compétences.

Comment favoriser l’inclusion des enfants ayant un TND ? 

La norme en classe, c’est la diversité

Plus on adapte l’environnement des personnes ayant un trouble du neurodéveloppement, plus on participe à leur épanouissement. En France, 1 personne sur 6 est concernée. Dans une classe ordinaire, cela représente plusieurs élèves et pour quelques enfants, le diagnostic n’a pas encore été posé. En effet, le repérage peut être long, tout comme le parcours de santé. Alors comment faire ? 

En partant du postulat que la norme en classe, c’est la diversité, il peut être intéressant de s’intéresser aux freins observables (attention réduite, mémoire de travail restreinte, difficultés de  compréhension, de lecture, d’écriture, de calcul, de repérage dans l’espace, impulsivité…) de l’enfant plutôt qu’à son trouble. En effet, cela permet d’anticiper les adaptations en fonction de l’identification des barrières fréquentes à la participation et de les proposer à tous les enfants qui en ont besoin, au moment où le besoin se fait sentir. 

Avec ou sans diagnostic

Lorsque le diagnostic est posé, les équipes de santé identifient les freins observés chez leurs jeunes patients et peuvent recommander des outils, des adaptations, des solutions à tester, des aménagements… Il est également possible que des soignants proposent un échange téléphonique avec la ou le professeur lors de la rentrée scolaire ou bien lors d’une évolution de la prise en charge, à la demande des parents.

Rappel : Aucune obligation légale n’impose aux familles d’informer l’école du diagnostic de leur enfant, sauf pour les maladies contagieuses. La transmission d’informations médicales repose sur le consentement parental et le respect du secret médical. S’il est important que l’équipe enseignante puisse connaître et comprendre les conséquences du trouble sur les apprentissages, la transmission d’informations médicales relève du consentement libre et éclairé des parents.

Pour les autres enfants -sans diagnostic-, les freins peuvent être observés par les parents, des proches ou le personnel de l’Éducation nationale. Il s’agit alors de proposer les adaptations (au sens large) et de suivre l’évolution, exactement comme pour tous les élèves. Si l’adaptation est efficace alors on poursuit. Dans le cas contraire, on teste autre chose, autrement, on ajuste. 

Des adaptations pour lever les barrières à la participation

Lorsque la difficulté est passagère, les adaptations permettent à l’enfant d’éliminer les obstacles afin de participer, d’atteindre ses objectifs et de retrouver confiance. Si la difficulté persiste, alors, il est important de proposer à la famille d’en discuter ensemble.

Les critères d’efficacité d’une adaptation sont simples :

  1. l’enfant utilise l’adaptation, l’outil, la solution proposée ;
  2. l’enfant participe, la barrière a bien été levée ;
  3. l’énergie dépensée par l’enfant (et l’adulte à ses côtés) est raisonnable.

Quelles ressources Lili utiliser pour accompagner la réussite et le bien-être des élèves ayant un trouble neurodéveloppemental ?

Prendre en considération les troubles du neurodéveloppement pour adopter des principes de flexibilité et de diversification pédagogique, c’est important. Les connaître avec précision, en revanche, n’est pas nécessaire. En effet, en contexte scolaire, il est souvent plus pertinent de penser des adaptations en fonction des principales barrières à l’apprentissage observées chez un élève plutôt que de proposer des outils en réponse à un trouble. Voici des ressources Lili.cool destinées aux enfants et aux adultes qui les accompagnent en fonction des freins les plus fréquemment observés : 

La peur de se tromper

L’enfant préfère effacer, ne rien écrire ou même dire qu’il ne sait pas plutôt que de se tromper. Vous pouvez lui proposer ou utiliser :

  • la séquence Dompter l’erreur
  • la séquence Apprivoiser mes émotions
  • l’activité d’improvisation Super, j’ai raté
  • la production individuelle Oh la belle tache
  • le jeu d’attention progressif Jeu de mémoire
  • l’atelier philo Je grandis L’important, c’est de participer !
  • Je gère mon stress – Sensibilisation aux CPS (support de formation destiné aux adultes)

Il peut être intéressant de cumuler plusieurs bonnes expériences (où l’enfant maîtrise déjà les réponses) afin d’encourager l’enfant à se “lancer” dans de nouveaux apprentissages. 

La négociation ou l’insistance pour détourner les règles

L’enfant a une pensée divergente ou il aime remettre en cause les règles établies. Vous pouvez lui proposer ou utiliser : 

  • les ateliers philo Je grandis et plus particulièrement Je fais ce que je veux !, Fais attention à ce que tu dis ! ou C’est pas juste !
  • les activités d’expression Je m’exprime et plus particulièrement les jeux d’improvisation
  • Comment gérer un élève perturbateur ? (support de formation destiné aux adultes)
  • l’approche centrée solution : CPS et postulats – Sensibilisation aux CPS (support de formation destiné aux adultes)

Il est également possible de diminuer les comportements d’opposition en renforçant les comportements adéquats (sans comparaison avec les enfants qui n’ont pas les mêmes difficultés).

La dévalorisation ou le découragement 

L’enfant pense qu’il ou elle est nulle. L’école, les maths, l’EPS, ce n’est pas pour lui ou pour elle. Vous pouvez lui proposer ou utiliser : 

  • la séquence Croire en moi
  • le parcours Les Petits pas
  • la production individuelle La liste de mes qualités
  • 10 conseils pour encourager les enfants grâce à votre posture CPS (support de formation destiné aux adultes)
  • l’approche centrée solution de la sensibilisation aux CPS (support de formation destiné aux adultes)

Il est possible d’accompagner les enfants à regagner confiance en soi en soutenant leur besoin de proximité sociale. Par exemple, la formulation « tu n’y arrives pas encore » (à la place de « tu n’y arrives pas ») peut les stimuler. 

Les difficultés spécifiques à la lecture 

L’enfant a besoin d’un autre support que le texte pour accéder au sens des histoires. Vous pouvez lui proposer ou utiliser : 

  • le contexte des récits Je m’inspire pour construire les connaissances culturelles préalables aux histoires.
  • les podcasts des récits Je m’inspire et leur tapuscrit qui existent en version originale et en version adaptée, laissant ainsi la liberté de s’approprier le texte selon différentes modalités : lecture du texte original ou de la version adaptée, lecture accompagnée de l’écoute simultanée, lecture à voix haute, lecture à plusieurs…
  • les tapuscrits des récits en version adaptée pour réduire la longueur du texte à lire, sans limiter sa curiosité intellectuelle (histoire inspirante et vocabulaire riche)
  • les images-clés des récits Je m’inspire, en même temps ou après la découverte de l’histoire.

Les difficultés de compréhension (d’un texte lu ou entendu)

L’enfant a besoin de maîtriser des compétences complexes pour accéder au sens. Dissocier les compétences permet de faire le point sur chaque procédure (lecture, représentation mentale des personnages et des actions, inférences, lexique…). Vous pouvez lui proposer ou utiliser : 

  • le contexte des récits Je m’inspire pour installer l’univers d’écoute ou de lecture et vérifier les connaissances antérieures pertinentes à la compréhension de l’histoire (connaissances culturelles).
  • la version adaptée des récits Je m’inspire, pour solliciter la curiosité intellectuelle (vocabulaire riche) tout en limitant la durée de concentration (chapitres plus courts).
  • le vocabulaire expliqué à la fin de chaque tapuscrit par des explications en contexte ou des synonymes.
  • les images-clés et les jeux en images comme support de médiation pour pour favoriser les interactions, aider à la reformulation et questionner ses interprétations.
  • les tests de compréhension et notamment le jeu pour résumer l’histoire, un excellent moyen de contrôler sa compréhension (à partir de 10 ans).

L’impulsivité motrice ou l’hyperactivité

L’enfant s’agite, a des difficultés à ajuster son comportement d’une activité à l’autre (transition) ou joue avec tout ce qu’il a sous la main. Vous pouvez lui proposer ou utiliser : 

  • le parcours Apprivoiser mes émotions
  • le récit Je m’inspire d’Emma Watson
  • les temps calmes Je me pose (postures d’équilibre, relaxations, automassage, respirations…)
  • les activités d’expression corporelle Je m’exprime (notamment les jeux d’improvisation et de mime)
  • la production individuelle La météo intérieure (3 versions disponibles gratuitement)
  • la production individuelle Ma planète calme
  • respirer et se détendre du programme Bien-être (support de formation destiné aux adultes)
  • se relaxer en musique du programme Bien-être (support de formation destiné aux adultes)
  • Des exemples concrets de pratiques CPS intégrées dans les activités éducatives ordinaires – Sensibilisation aux CPS (support de formation destiné aux adultes)

Vous pouvez aussi utiliser des stratégies participatives et actives, multiplier les occasions de faire des pauses en mouvement, anticiper les transitions ou les temps d’attente. Rassurer l’enfant sur le temps qu’il reste avant la prochaine pause peut l’aider à s’apaiser. Enfin, aménagez l’environnement et enseignez lui comment bouger sans déranger ses camarades. 

L’attention réduite ou la distractibilité

L’enfant a du mal à persévérer dans sa tâche. Les distracteurs sont de natures diverses (internes comme les pensées, externes comme les bruits). Vous pouvez lui proposer ou utiliser : 

  • le récit Je m’inspire d’Emma Watson
  • le parcours Apprivoiser mes émotions
  • le parcours Muscler mon attention
  • les jeux d’attention et bulles sonores Je me pose
  • les relaxations et les postures d’équilibre Je me pose
  • les activités Je m’exprime au format pas à pas (origamis et dessins à dédicacer)
  • Je renforce ma pleine attention – Sensibilisation aux CPS (support de formation destiné aux adultes) 

Vous pouvez également essayer d’ajuster la tâche, découper l’activité selon Maximoi et minimoi, favoriser l’apprentissage par les pairs (mobiliser son attention grâce aux échanges) ou à l’inverse inciter l’élève à utiliser ses stratégies en autonomie (utiliser le levier motivationnel de l’aptitude). Il est également possible d’accepter la manipulation de fidgets ou même de fabriquer des balles anti-stress en classe.

L’aide des outils numériques et de la technologie est la bienvenue grâce à des fonctionnalités qui répondent bien souvent aux besoins : rétroactions immédiates, accompagnement de la temporalité (choix et maîtrise de la durée de l’activité, indicateurs sonores ou visuels de début et de fin), augmentation de la motivation liée à l’utilisation d’un ordinateur ou d’une tablette, etc. Cela n’enlève en rien l’importance de la médiation humaine et donc de la relation pédagogique, qui sera enrichie par la technologie10.

Les difficultés de régulation émotionnelle

Apprendre, exprimer, réguler

L’enfant réagit vite et de façon intense, en décalage avec les règles annoncées. On remarque son impulsivité ou son impatience car il prend la parole sans attendre son tour ou parce que ses émotions le submergent régulièrement. Vous pouvez lui proposer ou utiliser : 

  • le parcours Apprivoiser mes émotions
  • le parcours La jouer collectif
  • le récit Je m’inspire de Keith Haring et d’Helen Keller
  • les activités d’improvisation et de mime Je m’exprime, en travaillant à tour à tour, le rôle d’acteur et celui de public
  • les virelangues Je m’exprime, en jouant avec l’intonation des émotions
  • les relaxations, les respirations et les postures d’équilibre Je me pose
  • la production individuelle Ma planète calme
  • les activités Je m’exprime au format pas à pas (origamis et dessins à dédicacer)
  • les ateliers philo Je grandis de la collection Mes émotions
  • les jeux d’émotion et d’écoute Émotion-Vérité ou La valse des émotions Je m’exprime
  • Les compétences émotionnelles – Sensibilisation aux CPS (support de formation destiné aux adultes)
  • J’ai la capacité de me maitriser – Sensibilisation aux CPS (support de formation destiné aux adultes) 

Accompagner l’autorégulation

Il est également intéressant de déterminer les facteurs qui ont tendance à déclencher les débordements émotionnels. Cela afin de pouvoir les prévenir et anticiper (en associant l’enfant). S’il s’agit surtout d’une impulsivité qui concerne la prise de parole ou les sollicitations, des petites astuces peuvent faciliter l’autorégulation et l’aider à patienter : 

  • inviter l’élève à noter (ou dessiner) ce qu’il a à dire pour ne pas qu’il oublie ; 
  • se placer près de l’élève avec un signal visuel pour lui montrer que vous ne l’avez pas oublié ; 
  • l’interroger ou répondre à sa demande une première fois assez rapidement puis espacer au fur et à mesure.
Rappel : Ces ressources ne sont ni des outils extincteurs, ni des exercices de remédiation. Il s’agit d’activités à inscrire sur un temps long, au sein d’un cadre sécurisant pour développer des compétences transversales et permettre à tous les enfants de grandir en confiance. L’ensemble de ces suggestions est à adapter en fonction de l’âge de l’enfant, de ses capacités et des ressources disponibles au sein de l’établissement.

Lili et les enfants à besoins éducatifs particuliers : ce qu’il faut retenir

Lili est un programme de développement des compétences psychosociales et langagières qui propose :

L’inclusion, c’est surtout une réalité souvent plus complexe que la description des obstacles à repérer et des adaptations à proposer. Alors, Lili s’engage à son échelle, à écouter, apprendre et partager vos conseils terrain. Si vous souhaitez témoigner ou échanger entre pairs, rejoignez-nous sur les webinars d’accompagnement ou sur les réseaux sociaux. 

Les associations pour aider les familles, les adultes et les enfants concernés par les TND (liste non exhaustive) :

Sources

  1. Troubles du neurodéveloppement – Repérage et orientation des enfants à risque. Haute Autorité de Santé.[en ligne]. [Consulté le 22/09/2025]. Disponible à l’adresse : https://www.has-sante.fr/upload/docs/application/pdf/2020-03/reco299_recommandations_reperage_tnd_mel_v2.pdf  ↩︎
  2. Nouvelle stratégie nationale pour les troubles du neurodéveloppement (2023-2027). [en ligne]. [Consulté le 07/10/2025]. Disponible à l’adresse : https://handicap.gouv.fr/nouvelle-strategie-nationale-pour-les-troubles-du-neurodeveloppement-autisme-dys-tdah-tdi ↩︎
  3. LES TROUBLES DYS ou Troubles spécifiques du langage et des apprentissages. FFDys. https://www.ffdys.com/troubles-dys/ ↩︎
  4. Ressources et documents d’information. Occitadys Parcours de santé. [en ligne]. [Consulté le 07/10/2025]. Disponible à l’adresse : https://occitadys.fr/tsla/accueil-tsla ↩︎
  5. La dispraxie à l’école – Information école inclusive. https://www.dyspraxies.fr/scolarite/ ↩︎
  6. Le trouble de la cognition mathématique ou Dyscalculie. Occitadys Parcours de santé. [en ligne]. [Consulté le 07/10/2025]. Disponible à l’adresse : https://occitadys.fr/troubles-dys/ressources-filtrees/types-de-trouble/Dyscalculie ↩︎
  7. Le retentissement du TDAH chez l’enfant. TDAH-France. [en ligne]. [Consulté le 07/10/2025]. Disponible à l’adresse : https://www.tdah-france.fr/-Le-retentissement-du-TDAH-chez-l-enfant-82-.html  ↩︎
  8. Le site internet du Centre d’Excellence Autisme et troubles du neurodéveloppement. https://www.ceand.org/ ↩︎
  9. Qu’est-ce qu’un trouble du développement intellectuel ? CléPsy. [en ligne]. [Consulté le 07/10/2025]. Disponible à l’adresse : https://www.clepsy.fr/trouble-developpement-intellectuel/  ↩︎
  10. Plaisance, É. (2019). Le numérique par et pour l’éducation inclusive Numérique et éducation inclusive Quelles alliances ? Conclusion du dossier. La nouvelle revue – Éducation et société inclusives, 87(3), 165-176. https://doi.org/10.3917/nresi.087.0165. ↩︎